Cat. B
Plein tarif : 15€
Tarif réduit : 11€
Gratuit moins de 12 ans
Les chants de labour, de fauchage, de cueillette de la péninsule ibérique rencontrent les chansons de geste héritées du Moyen ge, sous les cordes d'un violoncelle et d'une voix nourris de transes archaïques et d'explorations sonores modernes.
Depuis 2016, Marion Cousin a entrepris d’explorer la péninsule ibérique par ses traditions chantées, en dédiant à chaque région choisie une collaboration spécifique, au gré de ses envies, de ses rencontres et de ses amitiés. C’est avec le violoncelliste Gaspar Claus – autre musicien nomade, polymorphe et hispanophile (il est le fils de l'illustre guitariste flamenco Pedro Soler) – et avec l’archipel des Baléares qu’elle a choisi d’inaugurer ce périple.
Paru la même année, leur disque Jo estava que m’abrasava recueille des chants de travail, chansons de geste et autres romances de Minorque et de Majorque. Portés par douze cordes habitées et ondoyantes – une voix « d’une douceur trompeuse » (Le Monde), une guitare et un violoncelle en perpétuelle métamorphose –, ces chants de labour, de fauchage, de cueillette et autres romances des siècles derniers, voisinant avec des chansons de geste héritées du Moyen Âge, forment un périple qui, de transes archaïques en explorations sonores modernes, de climats nocturnes en éruptions solaires, nous ballotte entre l’autrefois et l’aujourd’hui avec la douceur trompeuse d’un rêve.
Ce concert sera suivi d'un apéro-rencontre avec Marion Cousin et Gaspar Claus, à 19h dans les jardins de Noirlac, animé par David Sanson.
Marion Cousin, chant - guitare
Gaspar Claus, violoncelle
Le concert débute à 17h sur la scène extérieure (durée : 1 h).
Il sera suivi, à 19h d'un apéro-rencontre avec les artistes.
Une solution de repli est prévue au dortoir des convers en cas de pluie.